©

Rechercher

Recherche Sciences

La recherche est limitée au comptoir Sciences. Pour l'élargir, cliquez ici.

Requête

Résultats billets (11)

La compétition sexuelle réduit l'espérance de vie

Le pire, c'est qu'une fois n'est pas coutume, cette actualité ne concerne pas les animaux mais les humains. La dernière étude en date montre que le ratio hommes/femmes au sein d'un environnement donné affecte la longévité humaine.

Les Soucoupes d'Or Cafeduweb 2011: le palmarès des sciences

Sachez que, parmi les membres de Cafeduweb, se cache au moins un véritable scientifique. Aussi, puisque le comité Nobel (ni même son frère, le Ig Nobel) n'a pas su le remarquer, nous avons décidé d'organiser, en toute modestie, notre propre prix d'excellence.

FucM, le gène des souris lesbiennes

La désactivation d'un seul petit gène peut-elle changer l'orientation sexuelle d'un individu ? S'il y a peu de chances pour que cela fonctionne sur les humains, il semblerait en tout cas que ça marche sur les souris. Une équipe de chercheurs de l'Institut Coréen de Science et Technologie à Daejeon a découvert qu'il suffit de supprimer le gène approprié, le bien nommé FucM (du nom de l'enzyme fucose mutarotase qu'il encode), pour voir une souris femelle adopter le comportement d'un mâle. Les résultats de l'étude ont été publiés dans BMC Genetics en juillet dernier.

Pourquoi tromper son partenaire ? Question de sélection naturelle

Pour certaines raisons, la vie sexuelle des passereaux n’a rien de bien simple et peut s'avérer aussi compliquée que celle des humains. La polygamie du mâle est largement acceptée par la communauté tandis que la femelle doit se restreindre à la monogamie, et toute aventure extra-conjugale avérée conduit souvent au départ de monsieur laissant à charge de la mère toute la progéniture, tâche bien souvent ingérable, d’autant plus si l’on juge du défaut évident d’aides sociales.

Les larmes de souris sont-elles aphrodisiaques ?

A force d'observer des cobayes dans leurs laboratoires, les scientifiques finissent pas développer une étrange fascination pour la vie sexuelle des souris. Il y a quelques mois, une équipe coréenne a identifié un "gène gay" chez les femelles. Au Japon, une autre équipe, s'est intéressée à l'organe voméronasal du rongeur, spécialisé dans la détection des phéromones.

La sélection génétique à la tête du client.!

Connaissez-vous le passereau Diamant de Gould connu également sous le sobriquet d'Erythrura gouldiae? Oiseau étonnant dont le sexe de la couvée dépend de la tête du géniteur.

Pourquoi l'infidélité féminine ... des mouches

Sans le savoir, les femelles infidèles (ou la polyandrie) pourraient bien agir pour le bien de l'espèce. C'est en tout cas ce que suggère une étude concernant les mouches drosophiles.

Un homme gagnant moins que sa femme est plus infidèle

Les hommes qui sont dépendants financièrement de leurs compagnes sont jusqu'à 5 fois plus susceptibles d'être tentés par l'adultère. Pour les femmes, ce n'est pas le cas.

Les phares nouvelle génération n'éblouiront plus

La dernière trouvaille du constructeur Français Valéo est tout bonnement lumineuse, sans être pour autant éblouissante. Posons le décor. Perdu sur n'importe quelle route de campagne de nuit, large comme deux Smarts, sinueuse façon Mont Blanc Express et stabilisé tel Verdun un matin d'août 1917, les phares s'imposent. Vous êtes donc sur cette route, et ce soir vous vous trouvez dans le sens opposé au retour du tournoi de coinche local, une belote-une prune. Pour les participants, il n'a pas été facile de trouver le frein à main, alors le comodo d'éclairage, n'y pensez pas. Bref, vous n'en loupez pas un seul, tous les 100 mètres, c'est éclipse solaire les lunettes ridicules de protection en moins. Dans les années à venir, cette situation pourrait disparaître avec le développement de phares nouvelle génération annoncés par Valéo.

Virilité et Nutrition

Aujourd'hui j'ai envie de vous faire partager cette étude que j'ai découverte grâce à un article sur le site scientifique Physorg. Au delà du titre peut-être légèrement racoleur, c'est surtout un nouvel apport à la théorie de l'importance de l'environnement dans le développement de notre corps.

Les bons lecteurs ne sont pas physionomistes

Il vous est peut-être déjà arrivé, lors d'une soirée entre amis, de vous trouver dans l'embarrassante situation d'avoir oublié le visage et le nom d'une personne que vous aviez déjà rencontrée auparavant. Rassurez-vous, vous n’êtes pas encore sénile. Selon le neuropsychologue français Stanislas Dehaene, du laboratoire Inserm de Neuroimagerie Cognitive à Gif-sur-Yvette, c'est parce que vous lisez beaucoup ! Les résultats de son étude, intitulée How Learning to Read Changes the Cortical Networks for Vision and Language, sont parus dans la revue Science, le 11 novembre dernier.

Résultats illustrations (0)

Aucun résultat en illustrations. Elargissez votre recherche.

Trier par