La scène se déroule à Cuba où des scientifiques cubains et allemands ont découvert que la plus petite grenouille du monde était toxique. Si la découverte est réelle, elle ne doit cependant pas être déformée par le sensationnalisme que l'on retrouve sur de nombreux sites internet.
Un groupe de chercheurs de l'Université de Tokyo a mis un point un capteur ultra sophistiqué, de la taille d'une boîte d'allumettes et capable de détecté les odeurs de substances chimiques ou de gaz polluants, comme les émissions de dioxines de carbone. L'astuce consiste à insérer des œufs de grenouilles génétiquement modifiés dans le nez du robot. Les résultats de leurs travaux ont été publiés dans le dernier numéro de la revue Proceedings of the National Academy of Sciences.